Le Feyenoord a créé une petite surprise en éliminant l'AC Milan lors des barrages de Ligue des Champions. Je précise "petite surprise", car même si le club néerlandais a pris une fessée face au LOSC lors de la phase de groupe, l'actuel quatrième de Eredivisie avait quand même battu le Bayern Munich et tenu en échec Manchester City.
Mais ce qui est intéressant dans cette qualification, c'est le fait que le Feyenoord est loin d'être un cador européen sur le plan financier. Avec un budget semblable à celui du Stade Rennais et du LOSC, le club néerlandais prouve qu'une formation avec des moyens "limités" est capable d'exister sur la scène européenne.
Pourquoi le parallèle avec le RC Lens ? Oui, c'est peut-être un peu tiré par les cheveux, mais le Feyenoord a habitué ses supporters bouillants à cette fameuse notion de "trading" ; cette obligation de vendre chaque saison pour survivre financièrement.
A l'image d'un RC Lens qui a vendu ses meilleurs éléments lors du mercato d'hiver, et cela pour plusieurs dizaines de millions d'euros, et qui a recruté de jeunes joueurs avec un bon voire gros potentiel, le Feyenoord a adopté cette stratégie depuis de nombreuses saisons.
Preuve de cette politique sportive assumée, le club néerlandais n'a dépensé que 8.3 millions d'euros pour David Hancko. Si on vous parle de ce joueur, c'est qu'il est désormais valorisé à 35 millions d'euros, et qu'il représente le transfert (dans le sens des arrivées) le plus cher de l'histoire du Feyenoord.
On peut également citer Santiago Gimenez qui avait été recruté pour 6M€ en 2022, et qui a été cédé cet hiver pour 35M€ à l'AC Milan. Et que dire de Mats Wieffer qui avait coûté 500 000€ au Feyenoord en 2022, et qui a été transféré l'été dernier à Brighton pour 35M€.
Bien sûr le RC Lens ne dénichera pas un Khusanov lors de chaque mercato. Bien sûr il y aura des échecs. Mais ce changement de cap dans la politique sportive était plus que nécessaire, notamment au regard de l'épineux dossier des droits TV.
A titre informatif : les droits TV en Eredivisie s'élèvent à 150 millions d'euros, soit trois fois moins qu'en France. A défaut d'être riche, il faut savoir être imaginatif ...
Mais ce qui est intéressant dans cette qualification, c'est le fait que le Feyenoord est loin d'être un cador européen sur le plan financier. Avec un budget semblable à celui du Stade Rennais et du LOSC, le club néerlandais prouve qu'une formation avec des moyens "limités" est capable d'exister sur la scène européenne.
Pourquoi le parallèle avec le RC Lens ? Oui, c'est peut-être un peu tiré par les cheveux, mais le Feyenoord a habitué ses supporters bouillants à cette fameuse notion de "trading" ; cette obligation de vendre chaque saison pour survivre financièrement.
A l'image d'un RC Lens qui a vendu ses meilleurs éléments lors du mercato d'hiver, et cela pour plusieurs dizaines de millions d'euros, et qui a recruté de jeunes joueurs avec un bon voire gros potentiel, le Feyenoord a adopté cette stratégie depuis de nombreuses saisons.
Preuve de cette politique sportive assumée, le club néerlandais n'a dépensé que 8.3 millions d'euros pour David Hancko. Si on vous parle de ce joueur, c'est qu'il est désormais valorisé à 35 millions d'euros, et qu'il représente le transfert (dans le sens des arrivées) le plus cher de l'histoire du Feyenoord.
On peut également citer Santiago Gimenez qui avait été recruté pour 6M€ en 2022, et qui a été cédé cet hiver pour 35M€ à l'AC Milan. Et que dire de Mats Wieffer qui avait coûté 500 000€ au Feyenoord en 2022, et qui a été transféré l'été dernier à Brighton pour 35M€.
Bien sûr le RC Lens ne dénichera pas un Khusanov lors de chaque mercato. Bien sûr il y aura des échecs. Mais ce changement de cap dans la politique sportive était plus que nécessaire, notamment au regard de l'épineux dossier des droits TV.
A titre informatif : les droits TV en Eredivisie s'élèvent à 150 millions d'euros, soit trois fois moins qu'en France. A défaut d'être riche, il faut savoir être imaginatif ...
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